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Se muestran los artículos pertenecientes a Abril de 2014.

PP FRANCES GANA LAS ELECCIONES: Nous y sommes : la France municipale est bleue !‏..


Para: mateomathaus@hotmail.com
Imagen de UMP Sarkozy UMP Sarkozy

Mes très chers amis,

Il y a un peu plus d’un an, fin 2012, je vous avais promis une grande vague bleue dans nos villes et villages. Nous y sommes : la France municipale est bleue ! Bleue comme elle ne l’avait jamais été !

L’ampleur de la victoire est sans appel. A la veille des élections municipales, nous détenions 45% des communes de plus de 9000 habitants. Aujourd’hui, nous en dirigeons plus de 62% ! 166 villes ont basculé de la gauche vers la droite. C’est un record historique, qui n’avait jamais été atteint sous la Vème République.

Quant au FN, la plupart de ses leaders - Florian Philippot, Louis Alliot, Marion Maréchal-Le Pen, Gilbert Collard, Bruno Gollnisch- ont été défaits. On est loin de l’irrésistible montée que les commentateurs se plaisaient à prédire.

Notre succès éclatant ne doit rien au hasard. Il est d’abord votre triomphe, à vous tous, militants, cadres, candidats, qui êtes l’âme, le cœur battant de l’UMP. Je voulais vous en remercier du fond du cœur par ce message, à défaut de pouvoir chacun vous embrasser personnellement. Depuis 2012, nous avons connu ensemble bien des épreuves. Nous avons subi bien des attaques. Nous avons été brocardés, moqués, donnés pour finis… Mais vous n’avez jamais rien lâché et, aujourd’hui, votre abnégation et votre courage sont magnifiquement récompensés. Une fois de plus vous avez fait mentir tous les sondages ! Je vous redis ici ma reconnaissance, mon admiration et mon amitié fidèle.

Ce succès est aussi celui du travail patient de reconstruction que j’ai mené à la tête de l’UMP, avec toute l’équipe dirigeante. En nous opposant sans relâche à François Hollande et à sa politique catastrophique qui a placé la France au bord du gouffre. En étant une force de proposition exigeante, courageuse et ambitieuse, qui nous a permis d’apparaître aux yeux des Français comme la seule alternative crédible à la gauche. En faisant émerger une nouvelle génération de candidats dans toute la France, qui incarnent désormais le renouvellement et l’espoir.

Bien sûr, il n’est pas question de nous reposer sur nos lauriers. Alors que la France va très mal, cette victoire nous donne plus de devoirs que de droits. Elle nous oblige. Dans les villes que nous avons emportées, il va falloir s’atteler à adoucir la vie des Français. Au niveau national, nous devons accentuer la pression sur François Hollande pour qu’il entende la colère des Français. Un remaniement ne changera rien, il doit changer de politique. Une nouvelle fois, je l’appelle à renoncer aux hausses de dépenses publiques qui ruinent l’Etat, à mettre un terme à l’explosion des impôts qui appauvrissent les Français et font exploser le chômage, à ajourner la réforme des rythmes scolaires qui a désorganisé l’école, à remiser l’impensable réforme Taubira qui vise à réduire les sanctions et libérer les délinquants avant la fin de leur peine… La France s’en sortira en renouant avec la liberté économique, l’autorité de l’Etat et l’égalité des chances sur tous les territoires. C’est pour ce projet au service des Français que nous allons nous battre.

La route est encore longue vers l’alternance, mais nous avons fait hier un immense pas en avant. La prochaine étape est celle des élections européennes, qui auront lieu dans deux mois. Je vous demande de ne pas relâcher vos efforts ! Nous devons accentuer encore notre dynamique et le mouvement de reconquête que nous venons d’engager. C’est l’intérêt supérieur de la France qui l’exige. Notre pays ne peut se permettre un second quinquennat de François Hollande.

Mes très chers amis, la reconquête est en marche. J’ai la conviction que rien ne l’arrêtera si nous restons unis, humbles, déterminés et mobilisés.

Je compte sur vous comme vous savez que vous pouvez compter sur mon engagement total, je vous remercie et vous embrasse.

 

Jean-François Copé
Président de l'UMP

01/04/2014 12:20 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

Today Is the Last Day to Get Covered‏....


Para: mateomathaus@hotmail.com
Imagen de Nancy-Ann DeParle, The White House
 
 
 
 


 Featured

Today Is the Last Day to Get Covered

It's deadline day: the last day to enroll in quality, affordable health insurance. More than six million people have already signed up -- if you haven't enrolled yet, sign up for health coverage now.

If you've already enrolled, spread the word. Tell your family and friends that open enrollment for 2014 coverage ends today.

Still don't have health insurance? Head to HealthCare.gov and get covered now.

Don't have health insurance? Open enrollment for 2014 coverage ends: TODAY

 
 

 Top Stories

Weekly Address: Raise The Minimum Wage - It’s The Right Thing To Do For Hardworking Americans

In this week’s address, Vice President Biden discusses the importance of raising the federal minimum wage.

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West Wing Week 03/28/14 or, "The 2014 European Edition"

The President had a whirlwind week working in Europe, where he attended the third, biennial Nuclear Security Summit in The Hague, traveled to Brussels for an EU-US Summit, and then on to Italy, where he met with His Holiness Pope Francis.

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"I'm a Republican, and You Should Get Covered"

Mark D. Bearden is a retired psychologist living in Monroe, North Carolina. In February, he wrote a letter to the President letting him know what the Affordable Care Act has meant to him: "I am a staunch Republican, a self-proclaimed Fox News addict, and I didn't vote for the President. And I'm here to tell you that Obamacare works. I'm living proof."

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 Today's Schedule

All times are Eastern Time (ET)

10:30 AM: The President receives the Presidential Daily Briefing

11:15 AM: The President meets with senior advisors

1:15 PM: Press Briefing by Press Secretary Jay Carney WATCH LIVE

 
 

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01/04/2014 13:19 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

Add your name: America deserves a raise‏...


Para: mateomathaus@hotmail.com
Imagen de Nancy-Ann DeParle, The White House
 

Hey, all --

Last Friday, I spoke at a rally in Cleveland about raising the minimum wage. While I was there, I had the opportunity to talk with 11-year-old Jesseca Hudson, who came out to show her support.

Before I'd even boarded my plane back to D.C., she had already emailed me, telling me how she wanted to help in the fight to give millions of workers the wages they deserve.

Jesseca doesn't think that someone working full-time should struggle to make ends meet. But full-time workers earning the current federal minimum wage of .25 only earn about ,500 a year in wages -- below the poverty line for a family of two.

That's unacceptable. And it's why the President has called on Congress and state governments to raise the minimum wage to .10 an hour -- and on businesses to act on their own to increase the pay of their workers.

If you agree, then add your name -- and share why you think we need to raise the wage.

If you agree that we should raise the minimum wage, add your name here.

Raising the minimum wage to .10 will benefit about 28 million workers across the country. And it will help businesses, too: Raising the wage will put more money in people's pockets, which they will pump back into the economy by spending it on goods and services in their communities.

The bottom line: America deserves a raise.

And it's not just 11-year-olds that understand why it's a problem that the minimum wage has lost nearly a third of its value since its peak in 1968. Nearly three out of four Americans agree we should raise the wage.

If you agree it's time that we answer the President's call to increase the minimum wage and reward honest work, add your name and share why.

Thanks for your help.

Tom

Secretary Tom Perez
Department of Labor

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02/04/2014 14:13 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

CUBA DONDE LA GENTE TIENE QUE ROBAR PARA COMER Y LO LLAMA RESOLVER...

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CUBANET... INTERNACIONAL

Mayo 10, 2001



Cuba, el rostro actual

La lucha por "resolver" la vida

Con un salario promedio de 11 dólares mensuales (220 pesoscubanos), y sin la esperanza de lograr ingresos mayores, los cubanos han optado por otra forma de allegarse recursos económicos adicionales: "resolver". Resolver es conseguir, pero sobre todo es sobrevivir más allá de las posibilidades y los límites que fija el Estado. Es, en sí, hacer pequeños negocios en lo oscurito, en el mercado negro

Alejandro Lelo de Larrea. Enviado.. El Universal. México. Mayo 10, 2001

LA HABANA, Cuba.- Desde hace 14 años, todos los días, don Gustavo Alonso sale de su casa para sortear las inclinadas calles de esta capital con un triciclo de carga, en el que recorre tiendas y oficinas del estado, para recoger la mayor cantidad de cartón posible.

Y lo lleva a su casa, en la calle de Indio número 506, donde lo almacena hasta que, una o dos veces por semana, un camión de carga estatal pasa para llevarlo a la central de reciclaje.

Por ese trabajo, seis días a la semana, en que recolecta entre 200 y 300 kilogramos de cartón cada día, desde las siete de la mañana y hasta las cinco o seis de la tarde, Gustavo Alonso es remunerado con 128 pesos cubanos mensuales, algo así como 6.5 dólares.

"Además de mi salario, 2% de todo lo que se venda de cartón, nos lo reparten a todos los recolectores, que somos como diez", dice don Gustavo, hoy con 67 años de edad a cuestas.

La empresa recuperadora de cartón vende la tonelada a 15 pesos cubanos a otra empresa estatal responsable del reciclaje. "A veces me dan 100 pesos, otras un poco menos, de mi porcentaje".

Y aunque don Gustavo percibe como máximo 230 pesos cubanos al mes (10.5 dólares, aproximadamente), dice no pasar hambre, aunque prácticamente todos los días usa la misma ropa.

Habita entre cartones, costales de basura, al menos dos millares de botellas de colección e imágenes contradictorias entre sí, como el Papa, Fidel Castro, el Ché Guevara, Camilo Cienfuegos, el niño Elián, Buda, Jehová, Jesucristo, pero el hombre tiene segura la vivienda.

Además, el gobierno cubano le surte su libreta (un pequeño cuaderno de cinco por tres pulgadas), el documento más cuidado por los cubanos, pues en ella están anotados los nombres y edades de cada integrante de la familia, así como los satisfactores que les entregan mes con mes: arroz, pan, frijol, leche a menores de 7 años, huevos, carne de soya, jabón.

En ese mismo periodo, don Alonso paga 1.5 pesos de agua y gas por persona; "cinco pesos de luz, pero desde que tengo mi televisión (un pequeño aparato en blanco y negro) pago seis o siete". No tiene teléfono, pero en Cuba, sin largas distancias, pagar un dólar ya es mucho.

Foto: Francisco L Gómez/El Universal

- ¿Entonces, resuelve todas sus necesidades?

- A veces me llega a faltar algo, aceite, jabón, carne, o ropa, pero estoy a gusto. Lo único que me falta es poder ir a España, quiero que alguien me envíe la invitación y el dinero. Allá tengo familia, mi padre, Manuel Alonso Iglesias, era de Orense, España.

* * *

El ingreso promedio de los cubanos es de 11 dólares mensuales. (220 pesos cubanos), aunque el monto de los salarios fluctúa entre 120 pesos cubanos (el mínimo) y 450 pesos mensuales, como en el caso de un científico con doctorado.

Y ni quienes laboran en empresas de inversión extranjera o con la diplomacia tienen una mejor retribución económica. Existen dos empresas, Cubalse y Acorec, propiedad estatal, donde contratan a los cubanos que laborarán, en el primer caso, con la diplomacia; en el segundo, con las empresas de inversión extranjera.

"El gobierno actúa como una especie de capataz gigantesco de esclavos. Hay inversionistas extranjeros que vienen a buscar mano de obra como no la tienen en otro lado. La empresa entrega hasta mil dólares a Cuba por trabajador calificado, pero el gobierno paga al trabajador el equivalente, a lo más, 20 dólares al mes. Se queda con el resto. A ese grado es la explotación", cuenta Elizardo Sánchez, el más prominente defensor de los derechos humanos en Cuba.

Y sigue: "El gobierno justifica y dice que es para financiar los gastos sociales, es engañista. Este gobierno tiene dos grandes prioridades: sus poderosas maquinarias de propaganda y represión, la interna y la externa".

El segundo enorme gasto del gobierno cubano, explica Elizardo Sánchez, "es la nomenclatura, la burocracia plena. Es como un elefante".

Además, "el trabajador cubano no puede protestar, es el más obediente y desamparado de este hemisferio. Los sindicatos en Cuba son como un ministerio más, los trabajadores no pueden protestar. La gente siempre anda bajando la cabeza y los capitalistas de plácemes aquí", acusa Sánchez Santa Cruz.

* * *

Ante sus bajos ingresos económicos, el grueso de los cubanos busca recursos adicionales para sobrevivir. A ello le llaman "resolver".

Elizardo Sánchez explica lo que significa el término en la vida cotidiana. "Significa conseguir cosas o sobrevivir fuera de los límites estrechos que fija el estado".

Y ejemplifica: "De pronto quiero comprar un pollo o algo en una tienda y no lo hay. Voy por detrás y digo lo que quiero. Quizá lo compro más caro, pero resuelvo esa necesidad, y a la vez el que me lo vende ha resuelto otra carencia".

Frente al mercado de artesanías, sobre la calle 23, entre las calles N y O, en la colonia El Vedado, zona turística de la capital, Julio y Alexander, un mestizo y un mulato, acechan a todo el que se acerca a preguntar o comprar. "Qué quiere que le resuelva: puros, Cohiba, Montecristo 4, cigarros, ron Habana Club tres, cinco, siete y hasta 15 años (el último no existe), PPG. Vales de gasolina, una chica, taxi particular, quiere ir a un paladar…".

Experto en el mercado negro, Julio sonríe, deja ver su diente de oro y plantea: "Dime tú qué buscas. Te voy a resolver los Cohiba Espléndidos, los que fuma el comandante Fidel, en 50 dólares la caja con 25. Si tu vas a la tienda, te cuestan 380 dólares".

- ¿Y porqué tan baratos?

- Porque son resueltos. Un amigo trabaja en la fábrica y de ahí los saca.

- ¿Ah, son robados?

- No, robados no, resueltos.

En las leyes cubanas, sustraer productos propiedad del Estado no está tipificado como un delito. Le llaman resolver. Si los descubren haciéndolo, los despiden del trabajo y si mal les va, les imponen una multa.

Julio sigue explicando: "Mira mexicano, aquí todo mundo resuelve, no tienes otra opción. El que trabaja en el taxi del Estado, apaga el taxímetro, te arreglas con él, te cobra la mitad, y los dos resuelven: él se lleva un dinero y tú lo ahorras. ¿Me entiendes?".

Cuenta que el PPG-5, un medicamento que descubrieron los cubanos, cuyo efecto terapéutico ayuda a reducir el colesterol y destapar las arterias -aunque lo ofrecen como un producto que incrementa la potencia sexual a los hombres-, también lo sustraen de los laboratorios o las farmacias.

En las farmacias, una caja de PPG-5 con 40 pastillas cuesta 20 dólares. En el mercado negro se consigue en cuatro o cinco.

- ¿Y tú trabajas? -se cuestiona a Julio.

- No. Trabajaba en un mercado pero me botaron porque me cogieron resolviendo unas botellas de ron.

* * *

- ¿Es cierto que casi 100% de los productos que venden en la calle es falso? -se le pregunta a Enrique, un hombre que tiene un puesto en el mercadito de artesanías.

- Sí, pero mira chico, cómo vas tú a creer que yo te vendo algo falso. Yo aquí siempre estoy y puedes venir a decirme que te vendí mal. Pero no le compres a los jineteros (quienes ofrecen en las calles productos del mercado negro).

El hombre ofrece una caja de puros Montecristo 4, a 20 dólares. "Son los que fumaba el Ché. Y si te los llevas yo te regalo un billete firmado por el Ché".

* * *

Al volante de un automóvil Lada, con placas de piquera (Estado) un hombre ofrece dar una botella aventón). No pide dinero, pero dice que necesita dos dólares, la mitad de lo que cobraría un taxi normal, para resolver un aceite.

En un taxi habrían sido cuatro. Ambos han resuelto. Empleado del departamento de informática en el Ministerio del Azúcar, el taxista fortuito dice que, como casi todo el cubano, apenas sobrevive.

- ¿Y usted, qué resuelve de su trabajo?

- Cupones para gasolina. Si quieres ahorita te resuelvo unos.

El litro de gasolina especial cuesta un dólar; la normal, 90 centavos. El hombre ofrece a 5 dólares vales que equivalen a 10 litros de gasolina, cuyo costo normal es de 9 dólares.

* * *

Aquí, en las calles de La Habana vieja también hacen su luchita las doñas, vendedoras de dulces de menta: a peso cubano.

Pero también las decenas que, casi 24 años después de su muerte, y cinco de que su cadáver fue traído a Cuba, viven de la imagen del Ché Guevara.

Venden al Ché los artesanos: bustos, grabados en madera y cuero. Una y otra vez ofrecen monedas de 3 pesos cubanos de circulación vigente, cuyo valor real es de unos 15 centavos de dólar. Como en ellas figura el rostro del Ché y son escasas, las comercian a un dólar.

Dos gemelas, que apenas alcanzarán la mayoría de edad cubana (16 años) caminan con una bolsa de Liverpool. En forma discreta, entran en un restaurante para turistas. Abren la bolsa junto a los comensales y ofrecen flores de plástico, hechas por ellas, a un dólar.

- ¿Y por qué las traen escondidas en esa bolsa?

- Porque si nos ve la policía nos echa presas. O si bien nos va y escucha nuestras súplicas, nada más nos

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03/04/2014 15:12 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

The President’s Budget Ensures Opportunity for All Hardworking Americans‏


Para: mateomathaus@hotmail.com
Imagen de Nancy-Ann DeParle, The White House
 
 
 
 


 Featured

Weekly Address: The President's Budget Ensures Opportunity for All Hardworking Americans

In this week's address, the President highlighted the important differences between the budget he's put forward -- built on opportunity for all -- and the budget House Republicans are advocating for, which stacks the deck against the middle class.

Click here to watch this week's Weekly Address.

Watch: President Obama delivers the Weekly Address

 
 

 Weekly Wrap Up

7.1 Million Americans: Covered

The numbers don't lie -- the Affordable Care Act is working. By the end of open enrollment on March 31, 7.1 million Americans had signed up for coverage.

@WhiteHouse tweet:

In a Rose Garden speech, President Obama celebrated the news. "The bottom line is this: under this law, the share of Americans with insurance is up and the growth of health care costs is down, and that's good for our middle class and that's good for our fiscal future."

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The First Lady and Local Students Plant the White House Kitchen Garden

Spring is definitely here as the White House Kitchen Garden is growing again. First Lady Michelle Obama invited local students to join her for the sixth-annual planting of the garden earlier this week, making sure the White House will have a fresh crop of healthy fruits and vegetables in the months ahead.

@LetsMove tweet:

The First Lady started planting the garden in 2009 to start a nationwide conversation on healthy eating and, according to a report released by the National Gardening Association, 2 million more households are engaging in community gardening now than in 2008 -- a 200 percent increase.

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POTUS Rallies Wolverines Around Raising the Wage

The President traveled to Ann Arbor, Michigan on Wednesday to speak to a crowd filled with University of Michigan Wolverines about his March Madness bracket, a famous local deli named Zingerman's, and, of course, the importance of raising the national minimum wage.

Video player: President Obama speaks to a crowd at UMich

"Nobody who works full-time should be raising their family in poverty, right? If you're working, if you're responsible, you should be able to pay the rent, pay the bills," said President Obama. "But... all across the country you can work full-time on the minimum wage and still be in poverty."

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Team USA Stops by the White House

U.S. Olympians and Paralympians who competed in Sochi earlier this year visited the White House this week, spending time touring the grounds, playing with Bo and Sunny, and hearing from the President and First Lady.

@USOlympic tweet:

Read on to watch the President and First Lady's remarks to the athletes and to see some of Team USA's tweets and Instagram posts.

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Hop to the White House Easter Egg Roll Social

Are you a social butterfly? Do you have kids ages 5-13? Want to visit the White House? The 136th-annual White House Easter Egg Roll is just around the corner, and you are invited.

@FLOTUS tweet:

Sign up for your chance to hop around on the South Lawn and join in the fun.

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As always, to see even more of this week's events, watch this week's episode of West Wing Week:

Video player: West Wing Week

WATCH NOW


 

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05/04/2014 12:26 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

Photo: I've Got Your Finger, Mr. President‏...


Para: mateomathaus@hotmail.com
Imagen de Nancy-Ann DeParle, The White House
 
 
 
 


 Featured

Photo: I've Got Your Finger, Mr. President

President Obama meets the daughter of former Deputy Press Secretary Jamie Smith

President Barack Obama holds the hand of Lincoln Rose Pierce Smith, the daughter of former Deputy Press Secretary Jamie Smith, in the Oval Office, April 4, 2014. Watching from the other side of the Resolute Desk are Sage and Elsa Smith. (Official White House Photo by Pete Souza)

 
 

 Top Stories

Weekly Address: The President's Budget Ensures Opportunity for All Hardworking Americans

In this week's address, the President highlighted the important differences between the budget he's put forward -- built on opportunity for all -- and the budget House Republicans are advocating for, which stacks the deck against the middle class.

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Weekly Wrap Up: Millions Get Covered, Team USA Visits, and More

Last week, the President announced that 7.1 million Americans enrolled in private health coverage under the Affordable Care Act; the First Lady worked with students to plant the White House  Kitchen Garden; and 2014 U.S. Olympians and Paralympians visited the White House. Check out what else you may have missed in the Weekly Wrap Up.

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You're Invited: White House Easter Egg Roll Social

On Monday, April 21, the First Family will welcome more than 30,000 people to this year's White House Easter Egg Roll. For our next White House Social, we are giving our followers of @LetsMoveand @FLOTUS on Twitter, or @MichelleObama on Instagram, a chance to attend.

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 Today's Schedule

All times are Eastern Time (ET)

10:00 AM: The President receives the Presidential Daily Briefing

10:30 AM: The Vice President and Dr. Jill Biden deliver remarks at the 94th Annual Convention of the American Association of Community Colleges

11:15 AM: The President visits a classroom at Bladensburg High School

11:35 AM: The President delivers remarks at Bladensburg High School

12:00 PM: Press Briefing by Press Secretary Jay Carney

2:00 PM: The President meets with the Commander-in-Chief and Executive Director of the Veterans of Foreign Wars

3:25 PM: The President and Vice President attend the ceremonial swearing in of Maria Contreras-Sweet as Administrator of the Small Business Administration WATCH LIVE

 
 

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07/04/2014 11:24 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

"It's Nice to Have a Day, But It's Even Better to Have Equal Pay"....

20:13
Para: mateomathaus@hotmail.com
info@messages.whitehouse.gov
 
 
 
 


 Featured

"It's Nice to Have a Day, But It's Even Better to Have Equal Pay"

Women make up nearly half of the American workforce, but still earn an average of 77 cents for every dollar earned by men.

That's why today, on Equal Pay Day, President Obama signed an Executive Order and a Presidential Memorandum to help combat pay discrimination and strengthen the enforcement of equal pay laws.

Learn more about the President's new executive actions to close the pay gap.

51% of women say they're discouraged or forbidden from discussing their pay.

 
 

 Top Stories

Maria Contreras-Sweet Ceremonially Sworn In as Administrator of the Small Business Administration

Yesterday at the White House, President Obama and Vice President Biden participated in a ceremonial swearing-in ceremony for Maria Contreras-Sweet as the new Administrator of the Small Business Administration.

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Rethinking High School: President Obama Announces New Youth CareerConnect Grants

Yesterday, the President visited Bladensburg High School in Prince George's County, Maryland to talk about the Youth CareerConnect competition, which is offering 7 million in grants to redesign America's high schools for the 21st century economy.

READ MORE

Behind the Scenes: "In Performance at the White House: Women of Soul"

Last month at the White House, the President and First Lady honored great "foremothers" of American music -- music legends and contemporary artists whose songs express the struggles and achievements of women. Get a behind-the-scenes look here.

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 Today's Schedule

All times are Eastern Time (ET)

10:00 AM: The President and Vice President receive the Presidential Daily Briefing

11:45 AM: The President delivers remarks

12:30 PM: The President and Vice President meet for lunch

12:30 PM: Press Briefing by Press Secretary Jay Carney

2:30 PM: The President and Vice President meet with Secretary of State Kerry

4:00 PM: The Vice President meets with Prime Minister Milo Djukanovic of Montenegro

 
 

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08/04/2014 13:52 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

Ensuring Equal Pay for Equal Work

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 Featured

Weekly Address: Ensuring Equal Pay for Equal Work

In this week's address, the President underscored the importance of ensuring equal pay for equal work and highlighted the steps his Administration has taken to expand opportunity and narrow the pay gap that exists between men and women.

Click here to watch this week's Weekly Address.

Watch: President Obama delivers the Weekly Address

 
 

 Weekly Wrap Up

President Obama at Fort Hood: "Love Never Ends"

On Wednesday, President Obama spoke at a memorial service for the soldiers who lost their lives during last week's shooting at Fort Hood Military Base.

Video player: A Memorial Service at Fort Hood Military Base

In his remarks, the President explained that we must honor their lives "not in word or talk, but in deed and in truth."

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"It's Nice To Have a Day, But It's Even Better To Have Equal Pay"

The President celebrated Equal Pay Day on Tuesday by doing something only he can: picking up his pen and signing two executive actions to help ensure equal pay for all.

@WhiteHouse tweet:

The executive actions President Obama signed will protect federally contracted employees from retaliation if they broach the topic of unequal compensation and will require federal contractors to submit more data on employee compensation, making sure employers take proactive efforts to ensure fair pay for all their employees. Way back in January during the State of the Union address, the President said this would be a year of action, and these executive orders on equal pay are just another reminder that he is keeping that promise.

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44 Honors 36

This year marks the 50th anniversary of President Lyndon Baines Johnson signing the Civil Rights Act. President Obama traveled to the LBJ Presidential Library in Austin, Texas to reflect on the historic piece of legislation and the legacy of the 36th president.

Video player: President Obama honors LBJ and the 50th anniversary of the Civil Rights Act

"Because of the Civil Rights movement, because of the laws President Johnson signed, new doors of opportunity and education swung open for everybody -- not all at once, but they swung open. Not just blacks and whites, but also women and Latinos; and Asians and Native Americans; and gay Americans and Americans with a disability," said President Obama. "They swung open for you, and they swung open for me. And that's why I'm standing here today -- because of those efforts, because of that legacy."

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The VP, a Navy SEAL, and Man's Best Friend

Vice President Biden met with Trevor, a Navy SEAL, and Chopper, the military dog who saved Trevor's life, this week. In this episode of Being Biden -- the audio series where the Vice President gives you a window into his daily life and shares some of his most memorable experiences -- he shares more about that meeting.

Audio player: Being Biden Vol. 14

Can't get enough of the Vice President? Check out every episode of Being Biden.

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12/04/2014 12:15 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

GARCIA MARQUEZ SOBRE EL DICTADOR CHAVEZ..

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Carlos Andrés Pérez descendió al atardecer del avión que lo llevó de Davos, Suiza, y se sorprendió de ver en la plataforma al general Fernando Ochoa Antich, su ministro de Defensa. “¿Qué pasa?”, le preguntó intrigado. El ministro lo tranquilizó, con razones tan confiables, que el presidente no fue al Palacio de Miraflores sino a la residencia presidencial de La Casona. Empezaba a dormirse cuando el mismo ministro de Defensa lo despertó por teléfono para informarle de un levantamientio militar en Maracay. Había entrado apenas en Miraflores cuando estallaron las primeras cargas de artillería.

Era el 4 de febrero de 1992. El coronel Hugo Chávez Frías, con su culto sacramental de las fechas históricas, comandaba el asalto desde su puesto de mando improvisado en el Museo Histórico de La Planicie. El presidente comprendió entonces que su único recurso estaba en el apoyo popular, y se fue a los estudios de Venevisión para hablarle al país. Doce horas después el golpe militar estaba fracasado. Chávez se rindió, con la condición de que también a él le permitieran dirigirse al pueblo por la televisión. El joven coronel criollo, con la boina de paracaidista y su admirable facilidad de palabra, asumió la responsabilidad del movimiento. Pero su alocución fue un triunfo político. Cumplió dos años de cárcel hasta que fue amnistiado por el presidente Rafael Caldera. Sin embargo, muchos partidarios como no pocos enemigos han creído que el discurso de la derrota fue el primero de la campaña electoral que lo llevó a la presidencia de la república menos de siete años después.

El presidente Hugo Chávez Frías me contaba esta historia en el avión de la Fuerza Aérea Venezolana que nos llevaba de La Habana a Caracas, hace dos semanas, a menos de quince días de su posesión como presidente constitucional de Venezuela por elección popular. Nos habíamos conocido tres días antes en La Habana, durante su reunión con los presidentes Castro y Pastrana, y lo primero que me impresionó fue el poder de su cuerpo de cemento armado. Tenía la cordialidad inmediata y la gracia criolla de un venezolano puro. Los dos tratamos de vernos otra vez, pero no nos fue posible por culpa de ambos, así que nos fuimos juntos a Caracas para conversar de su vida y milagros en el avión.

Fue una buena experiencia de reportero en reposo. A medida que me contaba su vida iba yo descubriendo una personalidad que no correspondía para nada con la imagen de déspota que teníamos formada a través de los medios. Era otro Chávez. ¿Cuál de los dos era el real? El argumento duro en su contra durante la campaña había sido su pasado reciente de conspirador y golpista. Pero la historia de Venezuela ha digerido a más de cuatro. Empezando por Rómulo Betancourt, recordado con razón o sin ella como el padre de la democracia venezolana, que derribó a Isaías Medina Angarita, un antiguo militar demócrata que trataba de purgar a su país de los treinta y seis años de Juan Vicente Gómez. A su sucesor, el novelista Rómulo Gallegos, lo derribó el general Marcos Pérez Jiménez, que se quedaría casi once años con todo el poder. Este, a su vez, fue derribado por toda una generación de jóvenes demócratas que inauguró el período más largo de presidentes elegidos.

El golpe de febrero parece ser lo único que le ha salido mal al coronel Hugo Chávez Frías. Sin embargo, él lo ha visto por el lado positivo como un revés providencial. Es su manera de entender la buena suerte, o la inteligencia, o la intuición, o la astucia, o cualquiera cosa que sea el soplo mágico que ha regido sus actos desde que vino al mundo en Sabaneta, Estado de Barinas, el 28 de julio de 1954, bajo el signo del poder: Leo. Chávez, católico convencido, atribuye sus hados benéficos al escapulario de más de cien años que lleva desde niño, heredado de un bisabuelo materno, el coronel Pedro Pérez Delgado, que es uno de sus héroes tutelares.

Sus padres sobrevivían a duras penas con sueldos de maestros primarios, y él tuvo que ayudarlos desde los nueve años vendiendo dulces y frutas en una carretilla. A veces iba en burro a visitar a su abuela materna en Los Rastrojos, un pueblo vecino que les parecía una ciudad porque tenía una plantita eléctrica con dos horas de luz a prima noche, y una partera que lo recibió a él y a sus cuatro hermanos. Su madre quería que fuera cura, pero sólo llegó a monaguillo, y tocaba las campanas con tanta gracia que todo el mundo lo reconocía por su repique. “Ese que toca es Hugo”, decían. Entre los libros de su madre encontró una enciclopedia providencial, cuyo primer capítulo lo sedujo de inmediato: “Cómo triunfar en la vida”. Era en realidad un recetario de opciones, y él las intentó casi todas. Como pintor asombrado ante las láminas de Miguel Angel y David, se ganó el primer premio a los doce años en una exposición regional. Como músico, se hizo indispensable en cumpleaños y serenatas con su maestría del cuatro y su buena voz. Como beisbolista llegó a ser uncatcher de primera. La opción militar no estaba en la lista, ni a él se le habría ocurrido por su cuenta, hasta que le contaron que el mejor modo de llegar a las grandes ligas era ingresar en la academia militar de Barinas. Debió ser otro milagro del escapulario, porque aquel día empezaba el plan Andrés Bello, que permitía a los bachilleres de las escuelas militares ascender hasta el más alto nivel académico.

Estudiaba ciencias políticas, historia y marxismo-leninismo. Se apasionó por el estudio de la vida y la obra de Bolívar, su Leo mayor, cuyas proclamas aprendió de memoria. Pero su primer conflicto consciente con la política real fue la muerte de Allende en septiembre de 1973. Chávez no entendía. ¿Y por qué si los chilenos eligieron a Allende ahora los militares chilenos van a darle un golpe? Poco después, el capitán de su compañía le asignó la tarea de vigilar a un hijo de José Vicente Rangel, a quien se creía comunista. “Fíjate las vueltas que da la vida -me dice Chávez, con una explosión de risa-. Ahora su papá es mi canciller.” Más irónico aún es que cuando se graduó recibió el sable de manos del presidente que veinte años después trataría de tumbar: Carlos Andrés Pérez.

“Además -le dije-,usted estuvo a punto de matarlo.” “De ninguna manera -protestó Chávez-. La idea era instalar una asamblea constituyente y volver a los cuarteles.” Desde el primer momento me había dado cuenta de que era un narrador natural.

Un producto íntegro de la cultura popular venezolana, que es creativa y alborozada. Tiene un gran sentido del manejo del tiempo y una memoria con algo de sobrenatural, que le permite recitar de memoria poemas de Neruda o Whitman, y páginas enteras de Rómulo Gallegos.

Desde muy joven, por casualidad, descubrió que su bisabuelo no era un asesino de siete leguas, como decía su madre, sino un guerrero legendario de los tiempos de Juan Vicente Gómez. Fue tal el entusiasmo de Chávez que decidió escribir un libro para purificar su memoria. Escudriñó archivos históricos y bibliotecas militares, y recorrió la región de pueblo en pueblo con un morral de historiador para reconstruir los itinerarios del bisabuelo por los testimonios de sus sobrevivientes. Desde entonces lo incorporó al altar de sus héroes y empezó a llevar el escapulario protector que había sido suyo.

Uno de aquellos días atravesó la frontera sin darse cuenta por el puente de Arauca y el capitán colombiano que le registró el morral encontró motivos materiales para acusarlo de espía: llevaba una cámara fotográfica, una grabadora, papeles secretos, fotos de la región, un mapa militar con gráficos y dos pistolas de reglamento. Los documentos de identidad, como corresponde a un espía, podían ser falsos. La discusión se prolongó por varias horas en una oficina donde el único cuadro era un retrato de Bolívar a caballo. “Yo estaba ya casi rendido -me dijo Chávez-, pues mientras más le explicaba menos me entendía.” Hasta que se le ocurrió la frase salvadora: “Mire, mi capitán, lo que es la vida: hace apenas un siglo éramos un mismo ejército, y ése que nos está mirando desde el cuadro era el jefe de nosotros dos. ¿Cómo puedo ser un espía?” El capitán, conmovido, empezó a hablar maravillas de la Gran Colombia, y los dos terminaron esa noche bebiendo cerveza de ambos países en una cantina de Arauca. A la mañana siguiente, con un dolor de cabeza compartido, el capitán le devolvió a Chávez sus enseres de historiador y lo despidió con un abrazo en la mitad del puente internacional.

“De esa época me vino la idea concreta de que algo andaba mal en Venezuela”, dice Chávez. Lo habían designado en Oriente como comandante de un pelotón de trece soldados y un equipo de comunicaciones para liquidar los últimos reductos guerrilleros. Una noche de grandes lluvias le pidió refugio en el campamento un coronel de inteligencia con una patrulla de soldados y unos supuestos guerrilleros acabados de capturar, verdosos y en los puros huesos.

Como a las diez de la noche, cuando Chávez empezaba a dormirse, oyó en el cuarto contiguo unos gritos desgarradores. “Era que los soldados estaban golpeando a los presos con bates de béisbol envueltos en trapos para que no les quedaran marcas”, contó Chávez. Indignado, le exigió al coronel que le entregara los presos o se fuera de allí, pues no podía aceptar que torturara a nadie en su comando. “Al día siguiente me amenazaron con un juicio militar por desobediencia -contó Chávez-, pero sólo me mantuvieron por un tiempo en observación.”

Pocos días después tuvo otra experiencia que rebasó las anteriores. Estaba comprando carne para su tropa cuando un helicóptero militar aterrizó en el patio del cuartel con un cargamento de soldados malheridos en una emboscada guerrillera. Chávez cargó en brazos a un soldado que tenía varios balazos en el cuerpo. “No me deje morir, mi teniente…”, le dijo aterrorizado. Apenas alcanzó a meterlo dentro de un carro. Otros siete murieron. Esa noche, desvelado en la hamaca, Chávez se preguntaba: “¿Para qué estoy yo aquí? Por un lado campesinos vestidos de militares torturaban a campesinos guerrilleros, y por el otro lado campesinos guerrilleros mataban a campesinos vestidos de verde. A estas alturas, cuando la guerra había terminado, ya no tenía sentido disparar un tiro contra nadie”. Y concluyó en el avión que nos llevaba a Caracas: “Ahí caí en mi primer conflicto existencial”.

Al día siguiente despertó convencido de que su destino era fundar un movimiento. Y lo hizo a los veintitrés años, con un nombre evidente: Ejército bolivariano del pueblo de Venezuela. Sus miembros fundadores: cinco soldados y él, con su grado de subteniente. “¿Con qué finalidad?”, le pregunté. “Muy sencillo -dijo él-: con la finalidad de prepararnos por si pasa algo.” Un año después, ya como oficial paracaidista en un batallón blindado de Maracay, empezó a conspirar en grande. Pero me aclaró que usaba la palabra conspiración sólo en su sentido figurado de convocar voluntades para una tarea común.

Esa era la situación el 17 de diciembre de 1982, cuando ocurrió un episodio inesperado que Chávez considera decisivo en su vida. Era ya capitán en el segundo regimiento de paracaidistas y ayudante de oficial de inteligencia.

Cuando menos lo esperaba, el comandante del regimiento, Angel Manrique, lo comisionó para pronunciar un discurso ante mil doscientos hombres, entre oficiales y tropa.

A la una de la tarde, reunido ya el batallón en el patio de fútbol, el maestro de ceremonias lo anunció. “¿Y el discurso?”, le preguntó el comandante del regimiento al verlo subir a la tribuna sin papel. “Yo no tengo discurso escrito”, le dijo Chávez. Y empezó a improvisar.

Fue un discurso breve, inspirado en Bolívar y Martí, pero con una cosecha personal sobre la situación de presión e injusticia de América latina transcurridos doscientos años de su independencia. Los oficiales, los suyos y los que no lo eran, lo oyeron impasibles. Entre ellos, los capitanes Felipe Acosta Carle y Jesús Urdaneta Hernández, simpatizantes de su movimiento. El comandante de la guarnición, muy disgustado, lo recibió con un reproche para ser oído por todos: “Chávez, usted parece un político”.

“Entendido”, le replicó Chávez.

Felipe Acosta, que medía dos metros y no habían logrado someterlo diez contendores, se paró de frente al comandante, y le dijo: “Usted está equivocado, mi comandante. Chávez no es ningún político. Es un capitán de los de ahora, y cuando ustedes oyen lo que él dijo en su discurso se mean en los pantalones”.

Entonces el coronel Manrique puso firmes a las tropas y dijo: “Quiero que sepan que lo dicho por el capitán Chávez estaba autorizado por mí. Yo le di la orden de que dijera ese discurso, y todo lo que dijo, aunque no lo trajo escrito, me lo había contado ayer”. Hizo una pausa efectista y concluyó con una orden terminante: “¡Que eso no salga de aquí!” Al final del acto, Chávez se fue a trotar con los capitanes Felipe Acosta y Jesús Urdaneta hacia el Samán del Guere, a diez kilómetros de distancia, y allí repitieron el juramento solemne de Simón Bolívar en el monte Aventino.

“Al final, claro, le hice un cambio”, me dijo Chávez. En lugar de “cuando hayamos roto las cadenas que nos oprimen por voluntad del poder español”, dijeron: “Hasta que no rompamos las cadenas que nos oprimen y oprimen al pueblo por voluntad de los poderosos”.

Desde entonces, todos los oficiales que se incorporaban al movimiento secreto tenían que hacer ese juramento. La última vez fue durante la campaña electoral, ante cien mil personas. Durante años hicieron congresos clandestinos cada vez más numerosos. “Durante dos días hacíamos reuniones en lugares escondidos, estudiando la situación del país, haciendo análisis, contactos con grupos civiles, amigos. “En diez años -me dijo Chávez- llegamos a hacer cinco congresos sin ser descubiertos.”

A estas alturas del diálogo, el presidente rió con malicia, y reveló con una sonrisa de malicia: “Bueno, siempre hemos dicho que los primeros éramos tres. Pero ya podemos decir que en realidad había un cuarto hombre, cuya identidad ocultamos siempre para protegerlo, pues no fue descubierto el 4 de febrero y quedó activo en el ejército y alcanzó el grado de coronel. Pero estamos en 1999 y ya podemos revelar que ese cuarto hombre está aquí con nosotros en este avión”. Señaló con el índice al cuarto hombre en un sillón apartado, y dijo: “¡El coronel Baduel!” De acuerdo con la idea que el comandante Chávez tiene de su vida, el acontecimiento culminante fue El Caracazo, la sublevación popular que devastó a Caracas. Solía repetir: “Napoleón dijo que una batalla se decide en un segundo de inspiración del estratega”. A partir de ese pensamiento, Chávez desarrolló tres conceptos: uno, la hora histórica. El otro, el minuto estratégico. Y por fin, el segundo táctico. “Estábamos inquietos porque no queríamos irnos del ejército -decía Chávez-. Habíamos formado un movimiento, pero no teníamos claro para qué.” Sin embargo, el drama tremendo fue que lo que iba a ocurrir ocurrió y no estaban preparados. “Es decir -concluyó Chávez- que nos sorprendió el minuto estratégico.”

Se refería, desde luego, a la asonada popular del 27 de febrero de 1989: El Caracazo. Uno de los más sorprendidos fue él mismo. Carlos Andrés Pérez acababa de asumir la presidencia con una votación caudalosa y era inconcebible que en veinte días sucediera algo tan grave. “Yo iba a la Universidad a un posgrado, la noche del 27, y entro en el fuerte Tiuna en busca de un amigo que me echara un poco de gasolina para llegar a la casa”, me contó Chávez minutos antes de aterrizar en Caracas. “Entonces veo que están sacando las tropas, y le pregunto a un coronel: “¿Para dónde van todos esos soldados?” Porque que sacaban los de Logística, que no están entrenados para el combate, ni menos para el combate en localidades. Eran reclutas asustados por el mismo fusil que llevaban. Así que le pregunto al coronel: “¿Para dónde va ese pocotón de gente?” Y el coronel me dice: “A la calle, a la calle”. La orden que dieron fue ésa: hay que parar la vaina como sea, y aquí vamos. Dios mío, ¿pero qué orden les dieron? Bueno, Chávez, me contesta el coronel: la orden es que hay que parar esta vaina como sea. Y yo le digo: “Pero mi coronel, usted se imagina lo que puede pasar”. Y él me dice: “Bueno, Chávez, es una orden y ya no hay nada qué hacer. Que sea lo que Dios quiera”.” Chávez dice que también él iba con mucha fiebre por un ataque de rubéola, y cuando encendió su carro vio un soldadito que venía corriendo con el casco caído, el fusil guindando y la munición desparramada. “Y entonces me paro y lo llamo -dijo Chávez-. Y él se monta, todo nervioso, sudado, un muchachito de 18 años. Y yo le pregunto: “Ajá, ¿y para dónde vas tú corriendo así?” “No -dijo él-, es que me dejó el pelotón, y allí va mi teniente en el camión. Lléveme, mi mayor, lléveme.” Y yo alcanzo el camión y le pregunto al que los lleva: “¿Para dónde van?” Y él me dice: “Yo no sé nada”. Quién va a saber, imagínese.” Chávez toma aire y casi grita ahogándose en la angustia de aquella noche terrible: “Tú sabes, a los soldados tú los mandas para la calle, asustados, con un fusil, y quinientos cartuchos, y se los gastan todos. Barrían las calles a bala, barrían los cerros, los barrios populares”.

“¡Fue un desastre! Así fue: miles, y entre ellos Felipe Acosta. Y el instinto me dice que lo mandaron a matar -dice Chávez-. Fue el minuto que esperábamos para actuar.” Dicho y hecho: desde aquel momento empezó a fraguarse el golpe que fracasó tres años después.

El avión aterrizó en Caracas a las tres de la mañana. Vi por la ventanilla la ciénaga de luces de aquella ciudad inolvidable donde viví tres años cruciales de Venezuela que lo fueron también para mi vida. El presidente se despidió con su abrazo caribe y una invitación implícita: “Nos vemos aquí el 2 de febrero”. Mientras se alejaba entre sus escoltas de militares condecorados y amigos de la primera hora, me estremeció la inspiración de que había viajado y conversado A GUSTO con dos hombres opuestos. Uno a quien la suerte empedernida le ofrecía la oportunidad de salvar a su país. Y el otro, un ilusionista, que podía pasar a la historia como un déspota más.

18/04/2014 16:36 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

VENEZUELA AÑO CERO...

20140422150014-el-que-se-cansa-pierde.jpg

Desde la terraza se puede ver el mar completamente en calma..pero aún así el agua al chocar contra las rocas las erosiona...La erosión es mucho mayor cuando hay mar brava y las olas golpean furibundamente la costa..Incluso si no hay defensas artificiales, grandes bloques de hormigón por ejemplo, el mar se llevaría casas, puertos, embarcaciones, etc...

Pues bién, el soZialismo ha dejado a Venezuela metido en una tormenta que el mismo por otra parte ha creado y a las puertas de un tsunami...Mas a la vez ha destrozado TODAS LAS DEFENSAS DE LA NACIÓN...El tsunami ya está aquí y lo va a arrasar todo pronto.., mucho mas de lo que está ahora...Solo si hay un rápido cambio de gobierno y el actual gobierno soZialista es sustituido por otro que primero levante las defensas contra el maremoto y luego se ponga a construir una economía social de mercado, de libre mercado y sobre todo LE DE SEGURIDAD JURIDICA AL PAIS...habrá una salida..Venezuela es un país precioso, rico, con recursos tremendos no solo petrolíferos sino por ejemplo en el área del turismo...Pero todo esto es lo que está destrozando el soZialismo y el Armagedón viene...O reaccionan a tiempo o luego incluso cuando caiga la Dictadura el país va a costar un grandísimo esfuerzo reflotarlo del hundimiento...

22/04/2014 07:00 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

A Day in Japan with President Obama‏

The White House 21:21

Para: mateomathaus@hotmail.com

info@mail.whitehouse.gov
 
 
 
 
 
 
 Featured

A Day in Japan with President Obama

Earlier this week, President Obama arrived in Japan to kick off his fifth trip to Asia during his time in office.

While in Tokyo, the President was received at the Imperial Palace by the Emperor and Empress of Japan, held a press conference with Prime Minister Abe, visited students and robots at the Miraikan Science and Youth Expo, and saw the Meiji Shrine.

Watch some highlights from the President’s time in Japan.

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 Today’s Schedule

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1:45 AM: The President tours the Miraikan Science Expo

2:10 AM: The President delivers remarks at the Miraikan Science Expo and Youth Event

3:05 AM: The President tours the Meiji Shrine

6:00 AM: The President arrives to the Imperial Palace

6:20 AM: The President participates in a receiving line with guests

7:20 AM: The President attends the state dinner with Prime Minister Shinzo Abe of Japan

9:00 AM: The President participates in an after-dinner talk

7:30 PM: The Vice President attends an event for Representative Steve Israel


 

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24/04/2014 14:08 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

What .10 would mean for your state‏...

What .10 would mean for your state‏

 
 
25/04/2014
 

 
Para: mateomathaus@hotmail.com
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The White HouseFriday, April 25, 2014
 

What .10 would mean for your state

In this year’s State of the Union address, President Obama called on Congress to raise the federal minimum wage from .25 to .10 an hour.

That would benefit more than 28 million workers -- helping families across the country make ends meet.

But exactly how would it help? We’ll show you.

Check out our new interactive state-by-state maps, which break down how a .10 minimum wage can help workers in each state. And if you agree that 28 million Americans deserve a raise, add your name.

Find out how a .10 minimum wage would affect your state.

The data shows why this issue is so important.

In Texas, for example, almost 3 million workers would benefit from raising the minimum wage. And the additional earnings from a .10 wage could help a full-time, full-year minimum-wage worker afford either six months of rent, 36 weeks of groceries, or 103 tanks of gas over the course of a year.

American workers are doing their part. It’s past time they get the raise they’ve earned.

Learn how raising the wage will help workers in your state. Check out our new interactive maps -- and add your name to the call to raise the wage.

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25/04/2014 16:14 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema No hay comentarios. Comentar.

POR LA LIBERTAD DE EXPRESIÓN, CONTRA LA DICTAMADURA, EL 26A FUÉ UN EXITO..

 26 abril, 2014 / Karla / Noticias  0 Comments

Los jóvenes universitarios salieron hoy a la calle a una nueva jornada de protestas en Caracas para manifestar a favor de derechos  han sido restringidos por el gobierno del dictador Nicolás Maduro. Los estudiantes planean manifestar por el municipio Libertador una vez entregaron la notificación correspondiente para la actividad. 

Como parte de una segunda fase de las acciones de protesta, los estudiantes tienen previsto realizar una marcha que culminará en el centro de la capital donde el alcalde de ese municipio ha negado por varios meses los permisos correspondientes.

Protestas en Venezuela Caracas

“Lo que buscamos es la libertad de expresarnos y decir cualquier zona de Caracas es nuestra”, afirmó Francisco Márquez, uno de los dirigentes del movimiento estudiantil, al explicar la motivación de la protesta.

 

 

El movimiento estudiantil ha sido el principal promotor de las protestas en los últimos dos meses.

 

 

A 72 días de haberse iniciado en el país las protestas callejeras, y en medio del proceso de diálogo que lleva adelante el Ejecutivo con la coalición opositora, el consejero de la Universidad Católica Andrés Bello de Caracas aseguró que los estudiantes aún tienen razones para mantenerse en las calles.

“La protesta tiene que seguir porque el régimen no ha entendido que nosotros… estamos buscando recuperar la democracia de Venezuela y reconciliar al país y eso se hace en la calle con la gente”, dijo Márquez a The Associated Press en entrevista telefónica.

En relación con la sentencia que emitió el jueves el Tribunal Supremo de Justicia que establece que todas manifestaciones deben tener permiso, el dirigente consideró la medida “absolutamente denigrante” y violatoria de la constitución.

 

Venezuela se ha visto sacudida desde febrero por protestas de universitarios y opositores, esencialmente de clase media, en contra de la desbordada inflación  -que alcanzó en febrero una tasa anualizada de 57,3%-, el desabastecimiento de bienes básicos y un alto índice de delincuencia.

 

Los violentos incidentes registrados en Caracas y otras ciudades han dejado 41 muertos, 674 heridos y unos 2.285 detenidos, de los cuales 175 permanecen arrestados y sujetos a procesos judiciales, según la Fiscalía General.

Con información de El Universal



Más información en: http://www.maduradas.com/calle-sin-retorno-caracas-se-prendio-este-26a-con-gran-marcha-opositora-fotos/#ixzz304rYZJqP 
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27/04/2014 03:32 zpeconomiainsostenible Enlace permanente. sin tema Hay 1 comentario.

Socialista Gerhard Schröder , Gazprom y la política exterior alemana...

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SoZialismus Ist Ruine Writers Gerhard Schröder , Gazprom y la política exterior alemana
Por Stefan Steinberg
14 de abril 2006
Una polémica ha estallado en Alemania sobre los vínculos entre el ex canciller Gerhard Schröder Socialista y el gigante energético ruso Gazprom.
En septiembre del año pasado, apenas diez días antes de las elecciones generales de Alemania , Schröder se reunió con el presidente ruso, Vladimir Putin , en Berlín. Los dos hombres fueron testigos de un contrato de $ 6 mil millones firmado entre los representantes de la Federación de Rusia Estado el monopolio de gas Gazprom y las empresas alemanas E.ON y BASF para construir un gasoducto bajo el mar Báltico que une Alemania y Rusia.
Ahora se ha podido comprobar que , poco antes de dimitir de su cargo, Schröder propuso que el gobierno alemán a financiar un préstamo de mil millones de euros para Gazprom a partir de dos bancos alemanes para la construcción de una parte de la tubería. En el caso de que Gazprom no pudo pagar el préstamo , el gobierno de Schröder se comprometió a pagar la mayor parte de la deuda de la compañía rusa . Gazprom ha declarado recientemente que no tomaría la oferta.
El 9 de diciembre , pocas semanas después de la formación de una nueva gran coalición ( Partido Demócrata Cristiano Demócrata - Unión Social ) del gobierno en Alemania , el nuevo ministro de Economía , Michael Glos, y el jefe de Gazprom , Alexei Miller, celebraron públicamente el lanzamiento de la proyecto de oleoducto . El mismo día , el ex canciller Schröder aceptó una oferta de su amigo Putin para ocupar el cargo de presidente de la comisión de control del Parlamento Europeo y Gas Pipeline Company Norte ( NEGPC ), que es tener la responsabilidad general de la construcción de la nueva tubería. El accionista mayoritario de NEGPC es Gazprom , con un 51 por ciento , mientras que las empresas energéticas alemanas E.ON y BASF poseen cada una el 24,5 por ciento. Schröder recibirá un salario de € 250.000 en su nuevo puesto .
Schröder posteriormente ha sido acusado de una serie de lados de amiguismo y un conflicto de intereses. En respuesta, Schröder ha mantenido que él no sabía nada del acuerdo para suscribir un préstamo a Gazprom y que la iniciativa fue tomada por funcionarios de su gobierno sin su conocimiento.
Teniendo en cuenta la importancia de que Schröder del proyecto gasoducto , que su gobierno había estado persiguiendo durante varios años , y cuyo progreso Schröder le siguió con la máxima atención , con los reclamos de la ignorancia sobre el préstamo son poco creíbles. Pero, como un comentario de periódico comentó , siempre y cuando no hay evidencia escrita se desprende de su participación directa en el acuerdo , se mantiene , en este tema en particular , fuera del gancho.
Si Schröder era consciente de que el préstamo o no, todo el asunto es un síntoma de las relaciones políticas en Alemania en dos aspectos importantes. En primer lugar , se hace absolutamente claro el grado en que las modernas Partido Social Demócrata (SPD ) funciona como un brazo directo de las grandes empresas , con destacados miembros del partido se cambia de altos cargos políticos de los consejos de administración de las empresas multinacionales y los bancos , como si estuvieran cambiando sombreros .
En su cargo como canciller , Schröder impuso recortes drásticos en el estado de bienestar alemán . Ahora, después de condenar a millones a una vida de pobreza , que ha pasado a hacerse cargo de una empresa líder y altamente lucrativo puesto de gestión , sin pestañear .
En segundo lugar , que participan en la controversia sobre el papel de Schröder en Gazporm es una disputa sobre el futuro de la política exterior alemana que se está jugando en contra de un fondo de crecientes conflictos por el suministro de energía internacionales.
La premura con la que el gobierno SPD- Verde saliente finalizó y financió el gasoducto ruso-alemán sólo puede explicarse sobre la base de su determinación de " crear hechos" que requerirían un nuevo gobierno conservador para adoptar una política pro-rusa similar a la perseguido por la coalición SPD -Verdes . Lo que está en juego en la cuestión Gazprom es nada menos que el eje de la política exterior alemana .
Vale la pena recordar el contexto político más amplio para la partida de Schröder como canciller alemán. En mayo del año pasado, tras una serie de derrotas electorales locales y la oposición pública generalizada a sus planes de recortes sin precedentes en el Estado de bienestar alemán , Schröder anunció que se disolvía el parlamento y llamar a nuevas elecciones.
Schröder tomó su decisión sin consultar a su propio partido, o de su socio de coalición del Partido Verde, y en clara contravención de la Constitución alemana , que prohíbe a un canciller con una mayoría parlamentaria de llamar sumariamente nuevas elecciones. En condiciones donde el apoyo a su gobierno y el partido fue cayendo en picado , era de prever que las nuevas elecciones llevarían al poder a la oposición conservadora .
Al tomar esta iniciativa , Schröder respondía principalmente a los grupos de presión económicos y empresariales que estaban decididos a asegurar que el paquete de recortes sociales del partido SPD- Verde se llevó a cabo en la faz de toda la oposición .
En la campaña electoral posterior, la dirección del SPD recurrió a sus formas más habituales de la demagogia social-demócrata , declarando su oposición a los recortes en los niveles de vida y se hacen pasar por el abogado del hombre de trabajo ordinario. En un momento, los Presidentes del partido SPD Franz Münterfering llegó incluso a criticar públicamente a los especuladores financieros internacionales y operadores de fondos de cobertura como "langostas" . El objetivo principal de todo esto era minar el apoyo electoral a la recién formada " Partido de Izquierda ", al tiempo que garantiza una mayoría de derecha de llevar a cabo los recortes exigidos por las grandes empresas .
Después de la elección , el SPD entró en una gran coalición con la oposición conservadora ( Unión Demócrata Cristiana y la Unión Social Cristiana ) . En el nuevo gobierno , los miembros líderes del SPD ocupan todos los puestos que son cruciales para la aplicación de los recortes exigidos por el capital financiero internacional y alemana . Al mismo tiempo , ya que las revelaciones sobre el asunto demuestran Gazprom , el SPD estaba ansioso en los últimos días del gobierno SPD- Verde , para cerrar los asuntos pendientes que tendría amplias implicaciones para la política exterior alemana .
Schröder no perdió el tiempo haciendo cola una serie de puestos lucrativos para asegurar su propio futuro. No contento con su puesto como presidente de la junta NEGPC y su considerable compensación anual como canciller saliente, Schröder utilizó sus conexiones políticas para obtener otros puestos bien remunerados. Él fue el orador principal, en una cantidad no revelada , en una función reciente de un importante operador de fondos de cobertura .
Dos días después, Schröder fue contratado por la editorial suiza Ringier , que apaga el tabloide Blick , así como numerosas revistas , y que desempeña un papel similar en Suiza como la editorial Springer y el periódico Bild en Alemania.
Schröder no es el único ex político del gobierno SPD- Verde de sacar provecho de sus vínculos políticos y hacer el cambio de gabinete de la sala de juntas . Wolfgang Clement, el ex ministro de economía, obtuvo una posición de liderazgo con el gigante energético alemán RWE . Rezzo Schlauch , ex secretario de Estado para la antinuclear Partido Verde , supuestamente , ha sido nombrado asesor de la preocupación de la energía nuclear EnBW . Bela Anda , el altavoz de prensa para el canciller Schröder , ha aceptado un puesto que lleva con la compañía de servicios financieros AWD .
Mientras Schröder ha negado tener conocimiento personal de la promesa de préstamo de Gazprom , un secretario de Estado en su ministerio de finanzas , Caio Kochweser , ha reconocido que da su sanción por el préstamo. Tras la disolución del gobierno Schröder , Kochweser tomó un puesto lucrativo con el mayor banco alemán , Deutsche Bank, que está muy involucrada en el acuerdo gasoducto de Gazprom .
El ex ministro de Economía de Schröder , Werner Müller, también está presente en Renania del Norte Westfalia como presidente de la energía y la química preocupación RAG , que es una filial de E.ON.
La estrecha relación entre Schröder y Putin durante de la antigua cancillería fue frecuentemente objeto de críticas por la oposición conservadora, que , por su parte, tenía la intención de mejorar las relaciones con Washington. En el curso de estas disputas , se planteó la cuestión del peligro de Alemania convirtiéndose en demasiado dependiente de los suministros energéticos rusos . Sin embargo, como la situación en el Oriente Medio se vuelve cada vez más inestable , como resultado de la guerra de Irak liderada por Estados Unidos , la opción de la energía rusa se ​​vuelve cada vez más atractiva .
Incluso antes de que el nuevo gasoducto entre en funcionamiento , Rusia ya está proporcionando el 35 por ciento de las necesidades de petróleo de Alemania y el 40 por ciento de su gas. Además, Rusia es uno de los diez principales socios comerciales más importantes de Alemania .
Las exportaciones alemanas a Rusia aumentaron en un 15,4 por ciento el año pasado y el volumen total del comercio aumentó en un 25 por ciento en comparación con 2004 . Con la finalización de la operación de tuberías y su nombramiento como presidente del consorcio del oleoducto , Schröder ha sido capaz de asegurar la energía a largo plazo y los lazos comerciales entre Alemania y Rusia .
Al mismo tiempo, la naturaleza de la inquietud Gazprom quiere decir que el ex canciller alemán puede ser capaz de ejercer alguna influencia sobre la política exterior de Rusia . Según la revista Spiegel ", el nuevo empleador de Schröder es mucho más que una empresa con intereses de lucro . Es el arma más aguda de Putin en la lucha por el poder y la influencia. El presidente lo utiliza para asegurar su posición en el país y aumentar la influencia de Rusia en el extranjero. "
Apoyo a Schröder en la controversia Gazprom ha venido de su íntimo amigo Wolfgang Clement, quien habló en defensa de la garantía del préstamo . " Underwriting este préstamo era lo más sensato que podríamos haber hecho ", dijo Clement.
Schröder también ha ganado el apoyo de los círculos de negocios prominentes. Klaus Mangold , el presidente del Comité del Este para el negocio alemán, dijo que mientras que Schröder podría haber manejado el asunto más hábilmente : " Yo preferiría un ex canciller alemán que un abogado suizo o alguien de Tombuctú o Lichtenstein " que ocupa el cargo más alto en NEGPC http://www.kommersant.com/p735138/Schroeder_Germany_Gazprom/
 
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